Amas de mille cauris.
Une personne réduite en esclavage pouvait s’échanger contre 80 000 de ces coquillages à Ouidah, au Bénin, au milieu du 18e siècle, selon les récits des capitaines négriers (...) .
« En comparaison, une chèvre vaut 1000 cauris, une poule 200 cauris. Les capitaines de navires négriers expliquent aussi que 1000 cauris équivalent à un écu [à la fin du 18e siècle]. Et un écu équivaut à une semaine de travail d’un ouvrier en France à l’époque